Un petit clapotis, tout d'abord, infime... Puis, un murmure... Et, enfin, un chant, plus assuré, que chacun pouvait entendre.
Elle sauta ensuite, de rocher en rocher, offrant à tous sa liberté d'aller où bon lui semblait.
Elle s'installa tranquillement, où l'on avait besoin d'elle.
Un tout petit ruisseau, qui chantait, comme un oiseau, la mélodie de la vie.
© Quichottine
...(Merci à Loralie* pour son image)
Le blog de Loralie n'existe plus mais on peut encore la retrouver, chez Loralia.
J'avais reconnu la façon de travailler de Loralie. Ce montage est magnifique et avec tes mots, il est parfait.
RépondreSupprimerBonne journée Quichottine.
Merci, Marie.
RépondreSupprimerJe dois dire que de nombreuses images me parlent.
Ce jour-là, je devais être comme le Petit Prince. Je cherchais un puits... et j'ai trouvé une source.
Bonne soirée à toi aussi.
et on sent monter l'envie de s'asseoir à son côté, ouvrir un gros livre, laisser les pages ouvertes, et se laisser bercer par ce murmure, en laissant nos penséeslibres de divaguer à leur aise, sans contraintes............;
RépondreSupprimerOuvrir un livre... pas forcément gros.
RépondreSupprimerEt oublier tout ce qui n'est pas harmonie.
Merci, Croc.
un conjunto muy bonito
RépondreSupprimerbesos
tilk
Merci, Tilk.
RépondreSupprimerComme un doux murmure...un billet tout en tendresse
RépondreSupprimerBisous
J'avais besoin de ce murmure... et sans doute aussi de vos mots.
RépondreSupprimerMerci, Kri.
wha ou! y'avait une source dans ton jardin et tu nous l'avais caché...bon heureusement que t'as dit...je sais où je vais pouvoir aller à la pêche...
RépondreSupprimerJe ne sais pas ce que tu y trouveras...
RépondreSupprimerTu me diras ?
Une source fraïche, un quichottinier pour l' ombre, un bouquin pour le plaisir, un carré d' herbe verte pour le confort ..... ça y est, je suis installée, et je n' en sortirai que par la force des baïonnetes ..... euh, quand même pas
RépondreSupprimerBisous sœurette et bonne soirée :)
Tu sais que tu es la bienvenue, ma Clo, pour le temps que tu voudras.
RépondreSupprimerDes livres, j'en ai plein, je pourrai même t'en prêter si tu veux.
Autant que tu pourras en lire.
Bisous tout plein pour toi et bonne soirée... même si ce n'est pas la même.
Quelques mots de toi en filet d'eau si vive accompagnent maerveilleusement ce montage de loralie...
RépondreSupprimerMagie!
Je t'embrasse très fort.
Dame Sophie
Je suis heureuse que tu sois passée, Sophie. Tes mots me font plaisir.
RépondreSupprimerJe t'embrasse très fort aussi.
Merci.
Un matin comme une chanson, peut-être une source qui vient d'une Isabelle qui chantait si bien, amie de celui qui nous quitte.
RépondreSupprimerJe vais l'écouter en pensant à la tienne.
Je t'embrasse très fort.
Hébé ? Bienvenue au jardin, qui que tu sois.
RépondreSupprimerLa source...
Je la connais bien aussi.
C'est une chanson magnifique, même si j'ai le cœur qui s'étreint chaque fois que je l'entends.
Mais merci pour ces mots, qui nous rappellent que le poète nous a quitté.
Passe une douce soirée.
me gusta mucho el atmosfera que hay en tu jardin
RépondreSupprimerbesos mi querida
tilk
Dans mon jardin, tout est paisible, tranquille... j'aime aussi.
RépondreSupprimerJe t'embrasse, Tilk.
Je viens me réfugier près de ta source, ma Quichott'.
RépondreSupprimerJe vais te lire mais si vite que je ne veux pas poster un commenatire de convenance.
J'irai sûrement relire ton billet sur le quichottinier de Félix.
Excuse-moi d'être si courant d'air en ce moment, je gère déjà la petite fabrique sans lire! Ce n'est pas sérieux, en tous cas ça ne me ressemble pas.
Ce n'est même pas une question de temps, c'est que j'ai ailleurs d'autres priorités intéressantes, et je réfléchis aussi sur un possible récit, plus long qui prend la tête.
Et je ne t'oublie pas.
Bisous tendres dans ce matin un peu gris mais doux.
Merci de t'y être arrêtée, ma Polly.
RépondreSupprimerBientôt, ce blog va revivre, doucement, comme je le souhaite. Fait de mots courts, de moments à partager avec ceux que j'aime.
Sans pub, sans rien de ce qui peut troubler la vérité des messages échangés.
Tu viendras quand tu le pourras, tu sais que la source est là, que le banc t'attend.
Prends soin de toi, ma Polly.
Plus que deux jours en Quichottinie.
Je sais que tu fais au mieux, alors, ne t'en fais pas pour moi, tout va bien.
Je t'embrasse très fort.
J'aime le murmure de la source, il est plus joyeux que celui de la pluie sur les carreaux! l'un chante la liberté, l'autre l'enfermement! Alors...j'irai mettre mon nez au vent, la pluie venant s'associer au chant de l'eau des montagnes... tu m'imagines? je rêve..........
RépondreSupprimerNez au vent, je t'imagine.
RépondreSupprimerJ'ai vu ton chemin tout à l'heure, j'ai vu aussi tes montagnes, celles que tu partages avec tant de plaisir avec ceux que tu aimes.
Je trouve merveilleux que tu sois au jardin.
Rêve, Mahina, je suis là, et je rêve avec toi.
Liberté... Liberté de vivre et d'aimer, d'être soi.
Merci.
Ds le calme du jardin, on l'entend chanter.....paisiblement VITA
RépondreSupprimerMerci, Vita.
RépondreSupprimerJe sais que c'est là que je vais te retrouver désormais, le plus souvent.
Et tu ne peux pas savoir combien cela me fait plaisir !
Comme un retour...